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Frédéric De Cecco
Flash-back Il est dommage que la prod de cet album instrumental/guitaristique ne soit pas d'un niveau exceptionnel car elle ne rend pas service aux morceaux pourtant bien composés, avec notamment des phrases mélodiques bien senties lorgnant du côté d'un certain Satriani, et une bonne technique sur l'instrument. A découvrir.

Dream Theater
Six degrees of inner turbulence Ce sixième album du groupe américian a déchaîné les passions en France à sa sortie puisqu'il s'est retrouvé meilleure vente de la semaine chez Virgin Megastore. Double CD, il confirme les capacités du groupe à faire évoluer sa technicité et musicalité vers la mode actuelle sur le premier CD(aussi bien Korn que Radiohead), à des fins que l'on espère pas trop commerciales, tout en confirmant son image de groupe métal progressif par excellence (sur le second CD). Un album qui peche un peu du côté de la production mais ne le rend pas moins indispensable. A découvrir absolument.
Scenes from New York Rien que 3 Cds forment ce live indispensable résumant correctement la carrière du groupe et nous offrant une version live de son concept album "A scene from a memory" (avec notamment des choristes gospels). James Labrie a la voix reposée, ce qui est rare en live, juste quelques accroches à noter dans les choeurs Petrucci/Portnoy. A mettre dans sa collection.
A scene from a memory Avec cet album DT nous livre un concept album de grande qualité. Les morceaux se succédent parfaitement pour nous conter une histoire qui suscite encore de multiples interrogations sur le Net. L'ambiance est relativement noire, et le groupe nous délivre aussi bien du heavy métal ("Home") que des morceaux sublimes ("Through her eyes"). Un petit regret ce pendant, on trouve deux longues digressions instrumentales, difficiles a appréhender. A découvrir absolument.
Once in a live time Cet album nous donne des versions live des classiques du groupe ainsi que des morceaux de l'album "Falling into infinity". Enregistré en France dans une ambiance très électrique, il pourrait être parfait si James Labrie ne s'égosillait pas de temps en temps et si Derek Sherinian jouait en rythme. Mais les plus grands ont aussi droit à l'erreur et c'est preuve de modestie d'avoir laisse ces erreurs dans l'enregistrement. A découvrir.
Falling into infinity Ce 5ème album du groupe lorgne plus du côté du rock progressif que du métal mais reste néanmoins intéressant même si les claviers de Derek Sherinian sont un peu trop envahissant. On notera les solos gilmouriens de guitares sur "Lines in the sand" et "Trial of tears". A découvrir.
A change of seasons Cet album recueille les chutes studios (et quelles chutes!) de l'album Awake ainsi quelques reprises live de Led Zeppelin, PinkFloyd, Elton John, Queen ... Le morceau "A change a seasons" résume très bien l'image musicale du groupe et son univers progressif. A mettre dans sa collection.
Awake Cet album marque la fin de la collaboration avec Kevin Moore. DT est fidèle à son image puisqu'il nous livre aussi bien du heavy métal titanesque ("Lie", "The Mirror") que des morceaux émouvants ("Space dye vest"). Une production irréprochable, des musiciens remarquables, des compositions très riches.Un must-have.
Images and word Premier album avec James Labrie et second album du groupe, il définit une nouvelle identité musicale et établit une référence pour de nombreux fans. Le style reste très progressif et peut perdre quelques auditeurs dans la complexité des pièces musicales. A découvrir absolument.